Les conséquences positives et les défis du pacte allemand pour la recherche et l’innovation

© Jorge Royan / http://www.royan.com.ar / CC BY-SA 3.0

Le troisième volet du PRI garantit ainsi sur la période 2016-2020 une hausse annuelle de 3% des budgets des quatre organismes de recherche extra-universitaires (Société Fraunhofer, Communauté Helmholtz, Société Max Planck, Communauté Leibniz) et de l’agence de moyens pour la recherche (DFG), et est particulièrement orienté vers le transfert de technologie et de connaissances, la numérisation, la construction de l’espace européen de la recherche et les grandes infrastructures de recherche.

Au-delà de la coopération internationale pour résoudre les grands défis mondiaux, le PRI devrait, selon le parti des Verts allemand (Bündnis90/Die Grünen), également servir à la protection de la liberté scientifique, à la promotion du rôle positif des sciences et de la connaissance, et au renforcement de la science comme plateforme de dialogue international pour la société civile.

La R&D est, avec la performance technologique, un facteur central pour la croissance et la prospérité. Un soutien massif à l’innovation a positivement impacté le marché du travail allemand, en créant près de 113 000 emplois entre 2005 et 2013, et cinq des dix entreprises européennes investissant le plus dans la R&D sont allemandes.

Source : « Pakt für Forschung fördert Innovation », communiqué de presse du Bundestag, 16/03/2017 – http://www.bundestag.de/presse/hib/2017_03/-/498020

Rédactrice : Claire Speiser, claire.speiser[at]diplomatie.gouv.fr – www.science-allemagne.fr