De nouveaux capteurs optiques CMOS à haute vitesse

Les capteurs d’image CMOS [1] traditionnels sont efficaces, mais peu utilisables dans des situations de lumière faible ou de fluorescence. De même, de gros pixels, même disposés dans une matrice, ne permettent pas des vitesses de lecture rapide. Un nouveau composant optoélectronique développé par l’Institut Fraunhofer pour les circuits et systèmes microélectroniques IMS de Dresde (Saxe) accélère ce processus et fait déjà l’objet d’un brevet.

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Le Fraunhofer CNT et Tokyo Electron définissent des méthodes de test et d’essai conjointes

Le Centre Fraunhofer pour les technologies nanoélectroniques (CNT) à Dresde (Saxe) et l’équipementier Tokyo Electron Limited (TEL) élargissent leur coopération. Afin de répondre aux exigences de plus en plus fines concernant la mesure de la qualité et de la précision du positionnement des plaquettes de silicium, l’Institut a acquis une nouvelle machine de test co-élaborée et fournie par TEL. Dans le cadre d’un accord d’évaluation, un autre système pour les méthodes de test et de caractérisation sera développé et testé.

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Matériaux composites pour la construction automobile : nouveau cluster de recherche en Bade-Wurtemberg

Theresia Bauer, Ministre de la science du Land Bade-Wurtemberg, a annoncé le 4 janvier 2012 la levée de 9,2 millions d’euros pour financer un nouveau cluster de recherche en matériaux composites (TC2), orienté vers les applications en construction automobile. Les matériaux composites jouent un rôle fondamental dans la conception de structures légères, garantes d’une réduction de la consommation énergétique des véhicules. C’est l’Institut de technologie de Karlsruhe (KIT), déjà présent au sein du Centre de compétence en construction légère pour l’automobile (KFL) [1] ainsi que le cluster d’innovation en construction légère hybride (KITe hyLITE) [2], qui assurera la coordination du cluster TC2. L’industrie participera au financement de TC2 à hauteur de 7,2 millions d’euro. La somme allouée par le Land Bade-Wurtemberg provient de son initiative en électromobilité [3] lancée en novembre 2009, ainsi que du Fonds européen de développement régional (FEDER).

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Nouvel Institut virtuel Helmholtz « Biomatériaux multifonctionnels pour la médecine »

Un nouvel Institut virtuel Helmholtz (HVI) [1] a été lancé le lundi 19 décembre 2011 à l’Université libre (FU) de Berlin. Les partenaires principaux sont l’antenne du Centre Helmholtz de Geesthacht (HZG, Schleswig-Holstein) à Teltow (Brandebourg), le Centre Helmholtz de Berlin (HZB) et l’Université Libre de Berlin. L’institut sera sous la conduite de Matthias Ballauff (HZB), Rainer Haag (FU Berlin) et Andreas Lendlein (HZG). Son objectif est d’analyser les interactions entre les protéines et les biomatériaux polymères. Celles-ci sont en effet jusqu’ici peu comprises et ne sont pas contrôlables.

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Le programme THESEUS présente ses solutions innovantes pour l’industrie, la médecine et la culture

THESEUS, le plus grand projet de recherche allemande dans le domaine des TIC initié par le Ministère fédéral de l’économie et de la technologie (BMWi), présentera ses derniers résultats de recherche partenariale à Berlin du 13 au 15 février 2012, organisant ainsi son dernier congrès. Les visiteurs pourront assister à des conférences et à des démonstrations techniques, obtenant ainsi un aperçu de toute une gamme de technologies développées par ce programme national. Un certain nombre d’applications utilisant déjà des technologies développées dans le cadre de THESEUS seront également présentées.

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Le sommet des TIC établit des normes pour la confiance dans le monde numérique

La portée des engagements pris lors de rencontres sectorielles ne peut naturellement pas se renouveler avec le même éclat chaque année, c’est ce que l’on remarque avec le sommet allemand des TIC. Si le sommet de 2010 à Dresde avait surpris en lançant des projets structurants, avec notamment l’introduction d’un numéro de téléphone unique pour les administrations (le 115) ou encore le plan d’action  » Green IT « , celui de 2009 à Stuttgart présentait déjà un bilan qualifié de « mitigé » par les acteurs d’outre Rhin, ayant à l’époque simplement évoqué la mise en place de la carte électronique de santé ou encore la sécurisation des courriers électroniques. C’est donc un cycle de 2 ans qui se dessinent entre les sommets structurant l’industrie.

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