Géothermie profonde en Bavière

L’institut pour la géophysique appliquée d’Hanovre (LIAG – Basse-Saxe) a présenté les résultats de son étude géothermique des aquifères bavarois lors des journées de l’Union européenne de géothermie (EGU [1]) à Vienne le 23 avril 2012. Les modèles de calcul hydrogéologiques et géothermiques ont permis de mettre en évidence un fort potentiel d’utilisation de la géothermie comme source énergétique en Bavière, qui pourrait même devenir la principale source de la région d’ici cinquante ans.

Lire la suite

Identification d’une nouvelle maladie génétique

Une équipe internationale de chercheurs, coordonnée par Cristina Has de la Clinique dermatologique de l’Université de Fribourg (Bade-Wurtemberg), a identifiée une nouvelle maladie héréditaire complexe touchant plusieurs organes : la peau, les reins et les poumons. Les chercheurs ont pu montrer que la pathologie est due à des mutations dans le gène de l’intégrine alpha-3.

Lire la suite

Un extrait végétal contre l’hépatite C

Des chercheurs de TWINCORE, le Centre d’infectiologie expérimentale et clinique commun à la Faculté de médecine de Hanovre (MHH, Basse-Saxe) et au Centre Helmholtz d’infectiologie (HZI, Brunswick, Basse-Saxe), ont découvert que le flovanoïde ladanéine, extrait de la plante Marrubium peregrinum L, peut empêcher le virus de l’hépatite C (VHC) d’infecter des cellules de foie. Ils voudraient à présent utiliser cette propriété à des fins thérapeutiques.

Lire la suite

Des algues en mission spatiale

Des biologistes de l’Université de la Ruhr à Bochum (RUB – Rhénanie-du-Nord-Westphalie) explorent un nouveau « système de support de vie » pour astronautes à base d’algues. En toute vraisemblance, les algues devraient être capables de s’adapter à la micro-gravité et pourraient à l’avenir assurer les apports en oxygène et vitamines dont aurait besoin un équipage en mission.

Lire la suite

Lucratives inventions berlinoises…

Dans les établissements d’enseignement supérieur berlinois naissent en permanence de nouvelles inventions. Pour éviter que celles-ci ne restent empêtrées dans le marais universitaire, une agence s’occupe de les breveter et de les commercialiser. Ce qui peut rapporter gros : il y a peu, une invention de Dieter Bimberg, le Directeur du Centre de Nanophotonique à l’Université technique (TU) de Berlin, s’est vendue plus de 500.000 euros.

Lire la suite

« Willkommen in Deutschland » : les meilleures universités allemandes pour les chercheurs étrangers

Un nouveau classement de la Fondation Alexander von Humboldt [1], paru le 20 avril 2012, présente les universités allemandes les plus attractives pour les chercheurs étrangers. Le classement se base sur le nombre de séjours effectués en Allemagne ces cinq dernières années par des chercheurs de pointe et des jeunes chercheurs étrangers en tant que boursiers ou lauréats de la Fondation Alexander von Humboldt. Les cinq premières places sont occupées par l’Université libre (FU) de Berlin, l’Université Humboldt (Berlin), l’Université Ludwig Maximilian de Munich (Bavière), l’Université de Bonn (Rhénanie du Nord-Westphalie) et l’Université technique de Munich.

Lire la suite

Reconnaitre et prévoir les dangers industriels grâce aux solutions de surveillance Fraunhofer

Sur les lieux de travail industriel, l’utilisation de robots requiert une attention et une prudence croissante : ces derniers portent désormais des charges de plusieurs tonnes, effectuent des travaux de soudure dangereux ou manipulent des produits chimiques corrosifs. Avec les projets « Sim4Save » et « Link4Save », l’Institut Fraunhofer pour la technologie des Medias digitaux IDMT d’Ilmenau (Thuringe) présente cette année, notamment à la Foire de Hanovre 2012, deux blocs industriels intelligents munis de nouvelles technologies qui fournissent une plus grande sécurité dans les lieux de travail à risque.

Lire la suite

Bioénergie et protection de la nature : comment éviter la monoculture de maïs ?

En Allemagne, 20% des 12 millions d’hectares de terres arables sont actuellement consacrés à la culture de plantes énergétiques. Suivant la volonté politique de développer massivement la biomasse comme source d’énergie, cette culture possède pourtant un inconvénient : elle privilégie la culture de maïs et menace ainsi la biodiversité. Pour y remédier, le Ministère fédéral de l’environnement (BMU) a lancé dans le cadre de son programme de recherche sur l’environnement (UFOPLAN) [1] un projet intitulé « culture de biomasse pour l’avenir – un point de vue naturaliste ».

Lire la suite