Lancement d’un projet de séquençage et d’analyse du génome des porcs

Des chercheurs de l’université d’Hohenheim (Bade-Wurtemberg) et de l’université de Kiel (Schleswig-Holstein) ont lancé une campagne de séquençage et d’analyse du génome de 3 500 porcs. L’objectif est d’identifier la position et la fonction de chacun des gènes de l’ADN porcin pour améliorer les méthodes d’élevage en sélectionnant au mieux les individus pour la reproduction.

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Des gènes sauteurs responsables de l’évolution des fourmis

Des chercheurs de l’Institut de zoologie de l’Université de Ratisbonne (Bavière) ont découvert la présence de « gènes sauteurs », ou éléments transposables, chez deux populations de fourmis de l’espèce invasive Cardiocondyla obscurior. Ils sont parvenus à mettre en évidence leur rôle important dans l’évolution des modifications génétiques. Les résultats de ces travaux ont notamment fait l’objet d’une publication dans la revue « Nature Communications ».

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Quelques chiffres sur la biodiversité allemande

La biodiversité indigène allemande comprend, par exemple, 2900 espèces de plantes, dont 188 espèces d’arbres et d’arbustes, 269 espèces de poissons et 74 espèces d’animaux quadrupèdes. Parmi ces derniers, 52 espèces animales seraient en danger.

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Symbiose acacia-fourmis : un nouveau niveau dévoilé

L’acacia Acacia hindsii, originaire des forêts tropicales d’Amérique centrale, est un exemple de myrmécophyte [1]. Il héberge des fourmis du genre Pseudomyrmex au creux de ses épines. Les fourmis se nourrissent quasi-exclusivement du nectar de la plante. En contrepartie du gîte et du couvert, les fourmis mutualistes assurent la protection de leur hôte contre les autres insectes et les plantes concurrentes.

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La recherche sur l’expérimentation animale évolue

Günther Weindl, de l’Université Libre de Berlin, a été récompensé pour ses recherches sur les méthodes alternatives à l’expérimentation animale. Ses travaux portent sur le développement de modèles de peau immunocompétents, qui pourraient remplacer les tests effectués à l’heure actuelle sur des souris et des cobayes.

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Les dommages collatéraux d’un parasite au sein de la ruche

Une ruche peut compter jusqu’à 50.000 individus dans un espace confiné et une atmosphère chaude et humide : des conditions favorables au développement de bactéries pathogènes. Les abeilles sont bien préparées à ce risque d’infection : elles accordent une attention particulière à l’hygiène de leur espace vital et possèdent plusieurs mécanismes de défense immunitaire. Les travaux du groupe de recherche sous la direction du professeur Jürgen Tautz au Biocentre de l’Université de Wurtzbourg (Bavière) ont réussi à expliquer pourquoi les essaims souffraient tout de même de pertes importantes liées aux infections bactériennes.

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Les poissons pourraient nous empoisonner à l’arsenic

Les éruptions volcaniques, la combustion d’énergies fossiles, mais aussi la diffusion géologique naturelle des éléments chimiques dans les eaux font pénétrer une quantité non négligeable d’arsenic dans l’environnement qui se retrouve alors dans la chaîne alimentaire.

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Phänomics – une initiative de recherche pour la santé et le bien-être animal en Allemagne

Suite aux recommandations émises par le conseil pour la bio-économie allemand (BioÖkonomieRat[1]) et les annonces d’un budget de 2,4 milliards d’euros pour les six prochaines années (60% sur projets, 40% sur fonds institutionnels pour les organismes)[2], le ministère pour l’enseignement et la recherche (BMBF) a décliné sa stratégie nationale pour la bio-économie et leur vision à 2030[3].

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