L’Internet des choses : projet européen d’architecture intégrée mené par l’Allemagne

Des chercheurs et des industriels européens ont ainsi uni leurs forces pour rapprocher via Internet des objets de la vie quotidienne et permettre un échange d’information facilité : le projet IOT-A (« Internet of things architecture »), dirigé par la société allemande VDI/VDE Innovation + Technik GmbH, est soutenu à hauteur de 12 millions d’euros au titre du septième programme-cadre européen pour la R&D.

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Un vent favorable pour le monde universitaire : 111 établissements sélectionnés dans le cadre du Pacte pour la qualité de l’enseignement

Le président de la Conférence scientifique commune (GWK) Jürgen Zöllner et la présidente adjointe Annette Schavan, ont présenté le 17 mai 2011 les résultats de la première vague de sélection du Pacte pour la qualité de l’enseignement : 111 établissements (52 universités, 47 écoles spécialisées et 12 écoles de musique et d’arts) vont être soutenus au cours des prochaines années afin d’améliorer les conditions d’étude et d’enseignement. Il s’agit du troisième pilier du Pacte pour l’enseignement supérieur 2020. Au total, près de 80% des établissements allemands ont participé à cette première vague de sélection (204 dossiers ont été reçus).

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Les premiers projets de transfert technologique soutenus par le fonds de validation de la Communauté Helmholtz

Le comité de direction du Fonds de validation Helmholtz a sélectionné 4 projets d’avenir issus des champs thématiques de la robotique, la recherche sur le cancer et l’environnement. Les quatre projets recevront au plus une subvention globale de 3,15 millions d’euros pour les deux prochaines années. Le directeur de la Communauté Helmholtz (HGF), Rolf Zettl, a souligné que le but du fonds de validation est de soutenir des résultats de recherche pertinents offrant des possibilités d’application intéressantes pour le monde économique. Il bénéficie d’une somme de 26 millions d’euro jusqu’en 2015, issus du Fonds d’impulsion et de mise en réseau de la Helmholtz, mis en place dans le cadre de la stratégie Hightech du gouvernement allemand. Il doit permettre de couvrir le fossé entre la recherche fondamentale et la mise sur le marché de nouvelles technologies. La gestion de ce fonds est confiée pour cinq ans à un acteur extérieur spécialisé berlinois, le Peppermint Venture Partners GmbH.

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La DFG met en place 13 nouveaux programmes prioritaires

Lors de sa session de début d’année, le Sénat de l’Agence allemande des moyens pour la recherche (DFG) a décidé de subventionner treize nouveaux programmes prioritaires (SPP). Ces derniers démarreront leurs travaux début 2012. Ces nouveaux SPP couvrent l’ensemble de la recherche, depuis les sciences sociales jusqu’aux sciences naturelles en passant par les sciences de l’ingénieur. Ils ont été choisis parmi 57 propositions de concepts. Au cours des prochains mois, les demandes de subvention vont être évaluées et examinées au regard de la qualité scientifique du projet. Ainsi, douze des projets vont d’abord être subventionnés pour trois ans, le treizième seulement pour deux ans. Ils recevront tous 23,9 millions d’euros pour la première année sur les 70 millions de prévus pour les premières années. En règle générale, ces SPP mènent leurs travaux sur six ans. Leur nombre atteindra 94 en 2012.

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Le « laboratoire du futur » : la recherche translationelle au coeur de la Sarre

L’Institut Fraunhofer des techniques biomédicales (IBMT) de Saint-Ingbert (Sarre) est impliqué dans la création d’une nouvelle structure au sein du Land de la Sarre : le « laboratoire du futur ». Le Ministère pour l’économie et la science de la Sarre va notamment investir 6,6 millions d’euros dans ce projet en partenariat avec le tissu industriel local.

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La nouvelle stratégie aérospatiale allemande

Le Gouvernement fédéral a adopté un nouveau programme aérospatial et a ainsi renouvelé ses objectifs ; la précédente stratégie aérospatiale avait été adoptée en mars 2001 et se trouvait ainsi partiellement obsolète, l’Union Européenne ayant acquis une compétence décisionnelle dans le domaine spatial (sans pour autant remettre en cause le fonctionnement de l’ESA, organisation intergouvernementale), et les Etats-Unis, acteur le plus important du secteur, ayant redéfini eux-mêmes leurs orientations.

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